Comment cracker sa Nintendo Switch ?
Hacker une Switch est un défi des geeks qui se font plaisir dans la découverte des autres fonctionnalités de Nintendo. Cette technique est même devenue une première option des curieux qui ont une Nintendo Switch à leurs possessions. Il est à préciser que hacker sa console n’a rien d’illégal aux yeux de la loi. Pourtant, le faire dans tout objectif de piratage est complètement défendu et légalement répréhensible. Toutefois, pour découvrir et actualiser les prestations de votre console, hacker est un processus efficace, facile et plausible à travers quelques démarches.
Nintendo Switch : rappel historique et de fonctionnalité
Nintendo Switch est la dernière version de console de Nintendo. Mis au marché depuis 2017, cet outil a offert maintes opportunités aux yeux de tous les passionnés de jeux vidéo. Après le flop de Wii U, Nintendo a conçu la Switch pour une version portable, multifonction et aussi à capacité élevée. Ce fut un essor pour la société avec une trentaine de millions de plateformes vendues en deux ans.
Nintendo Switch est tout d’abord une console de salon, mais sa légèreté lui donne également une présentation de console portable. Ainsi, quatre modes sont possibles avec Nintendo Switch, selon l’emplacement et l’effectif des joueurs. Avec son écran de 6,2 pouces, la console promet une séance de jeu plus confortable et rafraîchissante, sans oublier ses multiples fonctionnalités.
Premièrement, la console est utilisable comme un pad avec les boutons de fonctionnalités à gauche et à droite de l’écran. Deuxièmement, il est possible de détacher les parties des boutons de l’écran afin de les utiliser comme des manettes basiques. Comme troisième option, il y a le mode multi-joueurs qui permet un emploi séparé des manettes. Enfin, la console peut être branchée à une télé et jouée à grand écran avec tous les modes et fonctionnalités.
Quant aux mini-jeux de la Nintendo, ils sont insérés sous forme de cartouches, plus cohérents au mode portable. On y retrouve les classiques de la marque : Mario Kart, Super Mario, The Legend of Zelda, etc. L’option de partie en ligne offre une meilleure expérience de jeu avec la possibilité de jouer jusqu’à un groupe de 8 personnes.
Pourquoi cracker les consoles Nintendo Switch ?
Le Nintendo Switch, malgré son succès et son idéale configuration, a finalement succombé aux tentatives des hackers. C’est à travers la vulnérabilité du processeur « Tegra X1 » que les professionnels ont trouvé la faille de la console. Pourtant, certaines versions du Switch sont impossibles à pirater et la faille n’a touché que 18 millions de prototypes anciens.
- Un vaste choix de jeux
Principalement, l’objectif est multiplier le nombre de jeux auxquels on pourrait jouer. Ce n’était pas prévu par les concepteurs, pourtant, les hackers professionnels l’ont mis en vogue avec les premières versions. C’est l’atout principal du hacking, puisqu’il permet de développer et d’installer des jeux étrangers sur la Nintendo Switch.
Malgré les multiples suggestions, les jeux proposés et intégrables dans la console de Nintendo sont parfois lassants. Pourtant, hacker sa Switch promet une séance de divertissement libre et il permet aussi de jouer à des jeux non-officiels ou bien, piratés. En rajout, l’usage d’une application homebrew permet de streamer tous les jeux PC vers la Switch.
- Custom performant
Dans le domaine du jeu en général, Nintendo Switch classique n’offre que deux thèmes de personnalisation possible. Pourtant, l’homebrew ou le Switch hacké promet des opportunités customs vastes sur le thème et le choix de personnage par exemple.
De plus, sur Nintendo, on fait face à un environnement de jeux monotones et ennuyeux. Heureusement que la version hackée offre une image de fond personnalisable. Il est également possible de modifier la disposition des icônes, ainsi que les images du menu. Vous pouvez aussi ajouter des bruits de fond ou des sons de jeux propres à vous.
- Backup des sauvegardes
La version classique, ancienne ou innovatrice, de Nintendo n’a jamais donné des moyens de faire un backup local. Il était même possible de perdre 10 heures de jeux du jour au lendemain, en cas de problème. Oui, l’abonnement en ligne de Nintendo a offert un peu d’espace de stockage sauf que le cloud soit payant. Avec les outils homebrew, il est désormais possibles de stocker les parties d’une manière locale.
Ainsi, la Switch hackée permet même d’importer une sauvegarde externe et de poursuivre à débloquer des parties. Il est même possible de changer de personnage dans une partie sauvegardée, sans rien modifier de vos jeux antérieurs. De plus, les éditeurs de sauvegarde du Switch permettent de gagner des niveaux et des options supplémentaires pour tous les jeux installés.
Hacker sa Nintendo Switch : toutes les démarches
Cracker sa Nintendo est une tactique purement informatique et technologique. De ce fait, il exige l’intervention des hackers professionnels. Pourtant, il est possible de hacker sa Switch soi-même avec les étapes suivantes :
- Passer en mode RCM
Premièrement, il est indispensable de passer la console en mode RCM ou Reliability Centered Maintenance. Vous pouvez y procéder facilement à travers l’insertion du dongle USB sur le port USBC et la mise en place du RCM Jig sur la Joy-con de droite. Cela fait, maintenez sur les boutons volume + et sur celui de la mise en marche et arrêt de votre console.
Autrement, l’idée est de faire croire au processus Tegra que le bouton Home fonctionne à travers une liaison entre la vis et le Pin 10. Pour ce faire, il faudra relier la vis avec le bouton du côté droit de la console afin de générer un court-circuit. C’est une technique du hacker le plus doué, FailOverFlower, qui a conçu un plan 3D servant à l’activation des boutons menant au mode RCM.
- Insérer la ligne de code
Cette prochaine étape s’avère être la plus difficile, comme le mentionne encore FailOverFlower. Ici, vous devez trouver un ordinateur ayant un port USB EHCI ou xHCI et qui fonctionne sous Linux. Vous installerez Linux sur votre Switch et il sera votre nouveau système d’exploitation. C’est uniquement ainsi que vous insérerez la ligne de code qui validera le hack de votre console.
La plupart des hackers échouent dans cette démarche. Ici, l’utilisateur doit mettre en avance toutes ses connaissances informatiques et techniques, car ce n’est pas tout le monde qui a connaissance de ce système d’exploitation. Il est également à noter que ce logiciel est difficile à installer sur la Switch. De plus, une fois présent, il aura un contrôle absolu sur la fréquence des puces et du voltage de l’appareil.
- Redémarrer l’appareil
Principalement, cette étape franchie, le SX OS apparaît directement sur l’écran de la console. Vous pouvez tout de suite retirer le dongle et les autres outils d’installation et remettre le Joy-con droit. Le démarrage se fera uniquement sur boot Custom FirmWare ou CFW. Ce dernier se définit comme un programme personnalisé, crée par un hacker.
CFW est conçu afin de convoiter les faces cachées des consoles de jeux vidéo et aussi d’autres types d’appareils périphériques. Il reste à la tête des programmations des hackers qui dépassent les anciennes méthodes comme Pasta et Rx Tools. En effet, c’est CFW qui offre la possibilité de concevoir des menus personnalisés, de se servir des codes de triche et d’effectuer du modding.
Les limites des consoles hackées
A la connaissance des opportunités qui s’offre après le hacking, c’est vrai que c’est tentant. Pourtant, il est à noter qu’après, certaines activités ne joueront plus à votre avantage.
Adieu les activités en ligne !
Une fois que vous ayez cracké une console, tout d’abord, dîtes adieu aux jeux en ligne. Nintendo a mis en place des mécanismes de télémétries infaillibles qui détectent directement toutes activités piratées. Evidemment, dès qu’une connexion en ligne est entamée par un appareil cracké, l’entreprise agit en conséquence.
Toute console exécutant ou ayant exécuté du homebrew sera définitivement banni du système de Nintendo, dès qu’elle est connectée. L’intervention peut prendre du jour ou des semaines, mais surement, ça arrivera. Jusque-là, les hackers n’ont pas encore pu remédier à cela, sauf par le simple fait d’interdire toute connexion après le piratage.
Surtout, ne pensez pas que quelques années effaceront les traces du hacking, car la stratégie de Nintendo est de plus en plus active, au fil du temps. Le hacking est sûrement avantageux, mais représente également des inconvénients irréversibles. Vous pouvez tout de suite rayer les jeux en ligne, l’eShop ainsi que toute forme de mise à jour.
Plus aucune garantie !
Tous les services après vente, ainsi que les garanties d’offre disparaîtront. Dès que votre console soit signalée hackée par le système de Nintendo, ce sera comme si votre console n’a jamais existé. Ce qui implique qu’en cas de disfonctionnement de l’appareil, ce n’est même pas la peine de contacter le service client.
Pourtant, il existe un moyen de faire marche arrière. Il n’est pas facile, mais fait appel à une inactivité absolue de l’appareil. Tout d’abord, il est possible de restaurer un backup de sa propre NAND. Si vous avez créé une NAND personnelle avant de hacker votre Switch, vous pouvez éliminer toute trace de homebrew. Le processus est relativement long, mais vous rendrez son état initial à votre console.
Cracker sa propre Nintendo représente des milliers d’opportunités dans l’univers du Game. Non seulement il permet une personnalisation complète des champs de jeux, mais offrent également un accès aux autres plateformes illégales. C’est surtout sa cohérence avec les jeux PC qui attirent les regards des plus jeunes. Toutefois, le hacking d’une Switch n’est pas un processus facile et requiert de la compétence informatique et technologique. De plus, une fois les démarches entamées, plusieurs services ne seront plus utilisables comme l’eShop et les parties en ligne par exemple.